Jean Genet’nin «Sevdalı Tutsak» adlı eserinde şiddetin resmi
Date
2015-05-06
Authors
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Publisher
Uludağ Üniversitesi
Abstract
Sevdalı Tutsak on yıl kadar uzun bir aradan sonra Genet’nin yeniden yazmaya koyulduğu oldukça sıradışı, gerçekçi olduğu kadar da cesurane yazdığı eserlerinden biridir. Jean Genet bir kaç günlüğüne gittiği Filistin’de aylarca kalır. Filistin halkını yakından tanır ve onlarla kaynaşır. Filistinlilerin evlerine girer, sofralarında bir parça ekmeği paylaşır, onlarla birlikte İsrail terörünün ölüm korkusunu yaşar. Onlarla birlikte kamplarda kalır. Ağaçların dallarında geceyi geçirir. Fedai diye adlandırılan Filistinli çocukların kahramanlıklarından bahseder. Şatila katliamının batılı tek tanığıdır. Dünyaya Şatila’da yapılan katliamı en ince detaylarına varıncaya kadar anlatır. Batı emperyalist zihniyetinin doğurduğu İsrail’e yine batının doğurduğu Genet karşı çıkar. Filistinli anaları bir başka anlatır. Eserlerinin bir çoğu gibi Sevdalı Tutsak da batı toplumu tarafından “yaşlı bir aşırı solcunun yazdığı "terörist" bir metin olarak yuhalanmıştır”. Ancak ölümünden çok sonra Genet’nin edebi yönü büyük bir beğeniyle tescillenmiş, eserlerine ilgi her geçen gün artmaktadır. “Sevdalı Tutsak” işgalci İsrail tarafından açık cezaevine dönüştürülmüş ülkesinde esaret hayatı yaşayan Filistin halkının ülkesine olan sevdasının öyküsüdür. “Şiddeti Şiddet önler” diyen Jean Genet’nin düşüncesi güçlü olmanın önemini bir kez daha ortaya koyuyor. Genet, emperyalist güçleri karşısına aldığı için pasaportuna ve kimlik belgelerine el konulmuş, hapse atılmış ve 1986 da otel odasında ölü bulunmuştur.
Un Captif Amoureux est l'une de ses œuvres assez inhabituelles, braves autant réalistes qu'il avait commencée à réécrire après une longue interruption pendant presque une décennie. Il est resté pendant plusieurs mois en Palestine où il y’est allé pour quelques jours. Il connaît le peuple palestinien et socialise avec eux. Elle entre dans la maison des Palestiniens, il partage un morceau de pain sur leur table, il vit la peur de mort de la terreur israélienne avec eux. Il reste dans les camps avec eux. Il passe la nuit dans les branches des arbres. Il parle de l'héroïsme des enfants palestiniens nommés Fedayeen. Il devient l’unique témoin occidental des massacres de Chatila. Il raconte, au monde, les massacres faits à Chatila jusque dans les moindres détails. Genet, étant d’origine occidentale, se dresse contre Israël dérivé de la mentalité impérialiste occidentale. Il raconte autrement des mères palestiniennes. Un Captif Amoureux a été hué aussi comme la plupart de ses œuvres comme textes d’un vieux terroriste gauchiste. Mais, l'aspect littéraire de Genet a été accepté après une longue période de sa mort, et l'intérêt pour ses travaux s'augmente de jour en jour et tout le monde honore ses œuvres par un grand respect. L'auteur, n'ayant peur se dresser contre les grands géants du monde, prend place près des pauvres, cherche les moyens d'anéantir la pire source d'où il vient aussi, et sait donner un raclée en face de l'impérialisme. “Captif Amoureux" est l'histoire d'amour, pour son pays, d'un peuple obligé à vivre une vie captive dans son pays natal transformé en une prison ouverte par l'occupant israélien. la pensée de Jean Genet qui dit "la violence arrête la violence" révèle une fois aussi l'importance d'être fort. On confisque son passeport et ses papiers d’identité, on le met en prison et on le retrouve mort dans sa chambre d’hôtel en 1986 parce qu’il se dresse contre les forces impérialistes.
After almost ten year break, Genet started to rewrite “Prisoner of Love” that is a very extraordinary, realistic and as much as a brave literary work. Jean Genet stays in Palestine for months where he goes to stay just for a couple of days. He familiarized and socialized with Palestine people. He stays in their home, shares their bread and faces with the fear of death of Israel terror. He stays in camps with Palestine people. He spends the night on the branches of trees. He mentions the bravery of Palestinian children called “bouncer”. He is the only western witness of Şatila massacre. He narrates the massacre in Şatila with every detail to the world. Genet goes against Israel that is created by western imperialist minds. He tells exactingly Palestinian mothers. Like most of his other works, “prisoner of love” is also catcalled as a terrorist text written by an old extreme leftwinger. Yet, far after his death Genet’s literature perspective is appreciated and the interest in his works increases day by day. In his literary life, he didn’t beware from the opponents and he always stood nearby oppressed and tried to destroy the dirty origin that he also came from. He could always criticize the imperialism with his works. “Prisoner of love” is the story of patriotic love of Palestine people who live in captivity. Jean Genet says “Violence avoids violence” by emphasizing the importance of being powerful. As he stood against imperialist authorities, his passport and identity are seized and he is sent to prison and found dead in his hotel room in 1986.
Un Captif Amoureux est l'une de ses œuvres assez inhabituelles, braves autant réalistes qu'il avait commencée à réécrire après une longue interruption pendant presque une décennie. Il est resté pendant plusieurs mois en Palestine où il y’est allé pour quelques jours. Il connaît le peuple palestinien et socialise avec eux. Elle entre dans la maison des Palestiniens, il partage un morceau de pain sur leur table, il vit la peur de mort de la terreur israélienne avec eux. Il reste dans les camps avec eux. Il passe la nuit dans les branches des arbres. Il parle de l'héroïsme des enfants palestiniens nommés Fedayeen. Il devient l’unique témoin occidental des massacres de Chatila. Il raconte, au monde, les massacres faits à Chatila jusque dans les moindres détails. Genet, étant d’origine occidentale, se dresse contre Israël dérivé de la mentalité impérialiste occidentale. Il raconte autrement des mères palestiniennes. Un Captif Amoureux a été hué aussi comme la plupart de ses œuvres comme textes d’un vieux terroriste gauchiste. Mais, l'aspect littéraire de Genet a été accepté après une longue période de sa mort, et l'intérêt pour ses travaux s'augmente de jour en jour et tout le monde honore ses œuvres par un grand respect. L'auteur, n'ayant peur se dresser contre les grands géants du monde, prend place près des pauvres, cherche les moyens d'anéantir la pire source d'où il vient aussi, et sait donner un raclée en face de l'impérialisme. “Captif Amoureux" est l'histoire d'amour, pour son pays, d'un peuple obligé à vivre une vie captive dans son pays natal transformé en une prison ouverte par l'occupant israélien. la pensée de Jean Genet qui dit "la violence arrête la violence" révèle une fois aussi l'importance d'être fort. On confisque son passeport et ses papiers d’identité, on le met en prison et on le retrouve mort dans sa chambre d’hôtel en 1986 parce qu’il se dresse contre les forces impérialistes.
After almost ten year break, Genet started to rewrite “Prisoner of Love” that is a very extraordinary, realistic and as much as a brave literary work. Jean Genet stays in Palestine for months where he goes to stay just for a couple of days. He familiarized and socialized with Palestine people. He stays in their home, shares their bread and faces with the fear of death of Israel terror. He stays in camps with Palestine people. He spends the night on the branches of trees. He mentions the bravery of Palestinian children called “bouncer”. He is the only western witness of Şatila massacre. He narrates the massacre in Şatila with every detail to the world. Genet goes against Israel that is created by western imperialist minds. He tells exactingly Palestinian mothers. Like most of his other works, “prisoner of love” is also catcalled as a terrorist text written by an old extreme leftwinger. Yet, far after his death Genet’s literature perspective is appreciated and the interest in his works increases day by day. In his literary life, he didn’t beware from the opponents and he always stood nearby oppressed and tried to destroy the dirty origin that he also came from. He could always criticize the imperialism with his works. “Prisoner of love” is the story of patriotic love of Palestine people who live in captivity. Jean Genet says “Violence avoids violence” by emphasizing the importance of being powerful. As he stood against imperialist authorities, his passport and identity are seized and he is sent to prison and found dead in his hotel room in 1986.
Description
Keywords
Jean Genet’de şiddet, Genet’nin mazlum milletlere bakışı, Jean Genet ve Filistin, La violence chez Jean Genet, De l'avis de Genet des nations opprimées, Jean Genet et la Palestine, Violence in Jean Genet, Genet's overview to the oppressed peoples, Jean Genet and Palestine
Citation
Küzeci, D. (2015). “Jean Genet’nin «Sevdalı Tutsak» adlı eserinde şiddetin resmi”. Uludağ Üniversitesi Eğitim Fakültesi, 28(Frankofoni Özel Sayısı), 103-118.